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| 20 juillet 2008

Un coup de promo pour booster vos ventes ? Voici comment lancer et orchestrer une campagne de marketing viral sur internet.

Souvenez-vous. C'était au siècle dernier, en plein Far Web. Les suppositions les plus folles circulaient autour du Segway... ou, devrait-on dire, de Ginger, puisque tel était le nom de code de ce que certains pensaient être une voiture tenant dans une valise, un ordinateur révolutionnaire, un aéroglisseur à hydrogène et même des toilettes sans déchets ! Il a suffi d'une fuite bien orchestrée par l'inventeur du Segway et publiée par le site Inside.com pour que le mystère Ginger commence à s'épaissir. En un an, la rumeur sur cette trottinette unique en son genre allait être relayée par Steve Jobs et Jeff Bezos (les patrons d'Apple et d'Amazon), reprise par le magazine Time, pour finalement faire l'objet d'un reportage en bonne et due forme sur la chaîne de télévision ABC Network. Belle opération de buzz.

Si, comme le pensait Jean-François Revel, « la rumeur est le plus vieux média du monde », internet a donné des ailes aux pros des cancans. Du côté des hommes de marketing, le buzz consiste à faire parler d'un produit avant son lancement sur le marché en touchant un maximum de monde. Du point de vue du consommateur, le buzz ne fonctionne que s'il fait l'objet d'un relais soutenu par cette question centrale : « De quel produit s'agit-il ? » Selon la société d'étude PQ Media, les dépenses des marques en matière de WOMM (Word of Mouth Marketing) ont dépassé le milliard de dollars sur le marché américain en 2007. De quoi faire rêver plus d'une PME française. Reste que le miracle du buzz n'opère pas à n'importe quelles conditions. Pour réussir sa campagne, il faut respecter quelques règles de bon sens et ne pas céder à la mégalomanie galopante, car les risques de dérapage peuvent vite devenir incontrôlables.

Rappelez-vous l'adage : un client satisfait en parle à trois personnes autour de lui, un client déçu en parle à onze.

Règle n° 1 : pas de contenu, pas de buzz

Ayez quelque chose d'important à dire ou à montrer. Sans service ou produit innovants, inutile de prendre la parole. Vous imaginez des inconnus se faire le relais sur leur blog de votre dernière offre promotionnelle juste parce qu'elle est intéressante ? La promesse doit toujours être forte au départ. Tout le monde ne s'appelle pas Apple, Nintendo ou Segway pour pouvoir faire croire qu'il va bouleverser le petit monde du téléphone mobile, révolutionner la manière de jouer avec sa console Wii ou réinventer les transports personnels avec sa trottinette.

Règle n° 2 : restez cohérent avec les valeurs de votre marque

Pas question de se mettre en porte à faux. N'oubliez jamais de placer le consommateur au centre de votre dispositif afin qu'il s'approprie pleinement votre marque et votre produit.

Règle n° 3 : identifiez les « influenceurs » qui correspondent à votre univers de marque

Ces individus, très présents dans les divers réseaux sociaux (lire page 28), représentent le noyau dur de votre buzz. Ils sont votre première cible, de véritables amplificateurs et les acteurs indispensables du bouche-à-oreille. Prenez soin de flatter leur ego. Donnez toujours à ces ambassadeurs le sentiment qu'ils font partie des happy few.

Règle n° 4 : faites preuve de créativité

Testez des supports où l'on ne vous attend pas, comme la téléphonie mobile ou les opérations de street marketing. Mais inutile de tourner une vidéo si c'est pour mettre platement en avant vos activités. N'espérez pas obtenir le moindre retour de la communauté des internautes en la publiant sur YouTube.

Règle n° 5 : sachez faire simple et restez souple

Ne dites pas tout tout de suite, laissez la place à des mini-révélations au cours de la campagne. Cela vous permettra, le cas échéant, de rectifier le tir.

Règle n° 6 : soyez réactif. Il faut être prêt à rebondir sur un point d'actualité

L'avantage du Net tient aussi dans sa vitalité virale. Laissez vivre votre opération en observant de près son biorythme. Au-delà d'une cinquantaine de commentaires publiés sur les blogs, les conversations s'arrêtent. Ne poussez plus le produit, il va entrer en mort naturelle.

Règle n° 7 : Maîtrisez vos coûts et n'attendez pas trop du buzz, il n'est qu'une brique dans votre édifice marketing.

"L'opération de marketing viral m'a coûté six fois moins qu'une campagne classique"

"L'avantage, avec les campagnes de buzz sur le Net, c'est que l'on peut limiter les investissements puisque ce sont les internautes eux-mêmes qui servent de support », avance avec malice Frédéric Goubet, le patron de l'agence Wunderman. Ce n'est pas Olivier Marchal qui le contredira. A 38 ans, cet ancien de la nouvelle économie a lancé avant Noël une formidable opération de buzz sur internet pour donner un coup de promo à 1jour1vin.com, son site de ventes privées de vins. « Tout a commencé par une blague qu'on lâchait à nos clients, se souvient le fondateur du site. Lorsqu'il y avait de la casse pendant le transport, on tentait de faire passer la pilule en disant qu'on bossait sur un système de téléchargement de vin.

Finalement, on s'est pris au mot nous-mêmes et on a joué le jeu à fond. » Quelques semaines plus tard, une vidéo d'une minute est tournée par un copain et un mini-site événementiel est monté. L'opération de buzz peut démarrer. Le résultat est surprenant. En une seule journée, 700 nouveaux contacts se sont inscrits aux ventes flash du site. Il faut dire que tous les ingrédients du bon buzz y figurent : cohérence avec le service proposé, humour décalé, simplicité du message et une promesse tenue (à découvrir sur le site Dailymotion). « L'ensemble m'a coûté moins de 5 000 euros, insiste Olivier Marchal. Cela m'aurait été facturé au moins six fois plus si j'étais passé par une agence. » En quinze jours, la vidéo a été consultée près de 400 000 fois par les internautes. De quoi transformer la rumeur en clameur, comme le disait déjà Coco Chanel lorsqu'elle lança son N° 5.

Source : L'entreprise
Auteur : William Coop

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| 21 mai 2008

Claude François a fait du marketing viral, avant l'heure

Claude François

Dans votre livre, vous parlez d'une véritable "approche marketing", dans la manière dont Claude François à mis en œuvre sa carrière...

Alain-Guy Aknin, journaliste : Claude François avait un vrai sens du populaire, de ce qui allait plaire à son public et il l'exploitait intelligemment. Déjà, lorsqu'il était chanteur d'orchestre, il répertoriait les chansons qui accrochaient le public. Chez le disquaire, il observait ce que choisissait la clientèle pour connaitre ses goûts. Il était toujours à l'avance sur les artistes de son temps. Ainsi, il se faisait envoyer les enregistrements des hit-parades américains, ce qui à l'époque n'était pas courant.

Il a également modernisé le magazine Podium...

Alain-Guy Aknin : Lorsqu'il a repris le magazine Podium, il a créé un genre nouveau dans la presse pour jeunes, préfigurant la presse people actuelle. Bien sûr, il n'a pas tout inventé car il s'est inspiré des magazines américains, mais il a compris, en interrogeant directement ses fans (par exemple, celles qui attendaient en bas de son immeuble parisien), qu'il fallait aller vers des textes moins sages, de l'insolite, des infos plus intimes, même si, parfois, les reportages étaient inventés de toutes pièces. Le succès de Claude François, c'est un mélange de flair, d'études marketing et de beaucoup de travail.

C'était un véritable bourreau de travail...

Alain-Guy Aknin : Claude François avait une discipline de fer. Il faisait du sport, ne buvait pas, ne fumait pas. Il travaillait presque 24 heures sur 24. Il ne se laissait pas flancher un seul instant. Il était très exigeant envers lui-même et envers les autres. Avec son entourage, il pouvait être esclavagiste.

Comment se comportait-il avec les Clodettes ?

Alain-Guy Aknin : Il faisait preuve d'une phénoménale exigence. Il avait bien compris que les Clodettes plairaient au public masculin accompagnant ses admiratrices en concert et qu'elles le mettraient en valeur par leur beauté. Il était donc impossible pour lui que cet écrin ait le moindre défaut. Claude François était excellent danseur qui imaginait lui-même ses chorégraphies. Les Clodettes se devaient d'atteindre sa perfection, ce qui n'était pas facile.
Claude François, un chanteur populaire, de Alain-Guy Aknin
Editions Alphée, 220 pages, 18,90 euros

Claude François avait-il la manie du contrôle ?

Alain-Guy Aknin : Il avait un besoin exacerbé d'être le chef, de dominer et de tout maitriser, jusque dans les moindres détails. Par exemple, il communiquait avec son entourage par des notes de service, enregistrées sur son magnétophone, retranscrites par sa secrétaire et transmises à qui de droit. Ses notes de service pouvaient être assez étonnantes et folkloriques, dans le sens où elles concernaient tout ce qui lui passait par la tête, de la préparation des cuivres pour la session d'enregistrement d'un disque au remplacement d'une plante pourrie dans son bureau.

Il contrôlait également son image. Est-ce pour cette raison qu'il a longtemps dissimulé l'existence de son second fils, Marc ?

Alain-Guy Aknin : L'idée que son public féminin se détournerait de lui, s'il apprenait qu'il avait des enfants, était profondément ancrée en lui. Il avait peur de décevoir ses admiratrices, un chanteur devant demeurer totalement disponible pour ses fans. Il craignait, en tant que père de deux enfants, d'avoir l'air d'un homme rangé et de ne plus faire rêver ses fans. N'oublions pas que toute sa carrière était basée sur son public féminin.

Là encore, Claude François avait bien saisi l'importance commerciale de son noyau de fans...

Alain-Guy Aknin : Tout à fait. Il avait besoin de ces fans qui se jetaient à ses pieds, en pleine hystérie. Ces jeunes filles totalement acquises à sa cause étaient son fond de commerce. Tout d'abord, il a assez intelligemment créé son image de garçon élégant de sa personne, bien propre et bien coiffé. Ensuite, il a distillé en douceur, dans ses interviews, qu'il appréciait les jeunes filles, en une sorte de marketing viral avant l'heure. Il a ainsi créé un noyau de fans dont il a entretenu la ferveur, au fur et à mesure. S'il n'y avait pas de minettes qui l'attendaient, en bas de son appartement, il était désespéré, tant il avait besoin d'être adulé et rassuré sur sa capacité à plaire. Claude François était un grand angoissé, inquiet à l'idée de ne pas réussir, à celle de mourir. Le destin lui a donné prématurément raison et le mythe de cet artiste qui aurait mal accepté de vieillir est né.

Propos recueillis par Ludmilla INTRAVAIA pour LCI

Claude François et les clodettes

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| 19 février 2008

Depuis quelques années, on assiste à un développement ultra rapide de la communication, du partage et de la mise en ligne de supports multimédias sur internet. Formidable outil marketing pour faire sa pub, vengeances ou maladresses, on trouve aujourd’hui sur la toile photos et vidéos de stars dans des situations pour le moins très chaudes et compromettantes.... La mode des sextapes a bel et bien débarqué, et c’est une véritable révolution, Webdetente a donc voulu en savoir plus sur ce phénomène mondial !

Si la presse « people » marche aussi bien aujourd’hui, c’est certainement parce que les adorateurs de scoops sont de plus en plus nombreux… Les gens aiment découvrir leurs stars préférées dans des situations différentes de d’habitude, le public adore les indiscrétions et, l’arrivée du net n’a fait qu’empirer les choses ! En effet, photos et vidéos compromettantes circulent maintenant à une vitesse incroyable, c’est ce que l'on appelle un « buzz ».

Filmer vos ébats sexuels ? Attention aux fuites sur le net...

Mais si les stars font aujourd’hui parler d’elles, c’est à cause de leurs ébats sexuels ! Certaines filment et diffusent ensuite, volontairement ou pas, sur la toile la fameuse vidéo de leurs rapports, on appelle ça une « sextape » (littéralement « cassette de sex ») et, c’est le genre de petite indiscrétion qui crée une explosion sur le net dès sa sortie ! Imaginez votre star préférée, complètement nue en train de faire l’amour pour de vrai, en vidéo et disponible là tout de suite… Vous aussi vous cliquez sans attendre pour voir ça !

Avant l’arrivée d’Internet, les rumeurs de films de ce genre circulaient déjà mais, il était évidemment très dur de se procurer les fameuses images, vous vous doutez bien de la difficulté… Aujourd’hui, il suffit d’un accès au réseau et en une journée, le film aura fait le tour de la planète !

Paris Hilton : la pionnière !

Paris Hilton

La belle Paris fait figure de marraine dans le monde de la vidéo hot !

La jeune et richissime Paris Hilton, que l’on connaissait déjà pour ses photos osées et sa réputation de grande pimbêche bien roulée mais pas « fute fute », est la première par qui tout a débuté… En 2004, son petit ami de l’époque Rick Salomon filme leurs ébats et diffuse les images sur le net juste avant la série « The Simple Life », dans laquelle doit participer Paris. Le buzz est tellement énorme qu’à ce jour, la vidéo a été vue plus de 3 millions de fois et une version DVD a même été commercialisée, elle est intitulée « One Night In Paris ». Même si la blonde a porté plainte contre son petit ami, la vidéo a déjà fait le tour du monde et c’est un coup de pub monstre, les internautes et le public ne voient alors plus la jeune fille de la même manière !

One night In Paris

Mais malgré la déconvenue et la réputation de fille facile qui s’est abattue depuis sur l’héritière de l’empire Hilton, il faut croire que ça n’a pas suffi à Paris… En effet, elle a remis le couvert, à croire qu’elle aime ça, une 2e sextape de ses ébats, filmée cette fois-ci avec un autre petit ami, circule depuis peu sur le net ! On est presque blasé de la voir tellement ce genre d’images d’elle sont courantes… Bref, du grand Paris Hilton, mais la vidéo n’a pas de nom « officiel » cette fois ! Un grand concours de jeux de mots sur les sextapes de Paris devrait être organisé tellement elle en fait !

Mais les autres stars ne sont pas en reste non plus, puisque la pulpeuse Pamela Anderson, la sirène de Malibu qui continue à faire fantasmer des milliers d’hommes, apparaît dans une sextape sulfureuse avec son rockeur de mari Kid Rock ! La vidéo appelée « Pamela Anderson Exposed », montre les ébats de la comédienne ainsi que ses formes généreuse à travers des séquences plutôt hot ! Bien qu’elle ait été filmée il y a aujourd’hui quelques années, elle n’est disponible que depuis quelques mois sur le net ! Un régal pour les yeux, la blonde siliconée a gardé de bons restes !

Pamela Anderson

Mais la sextape qui se visionne le plus ces derniers temps, c’est celle de l’icône people du moment, la sublime Kim Kardashian ! En effet, la meilleure amie de Paris Hilton (tiens donc, elles ne sont pas copines pour rien !) qui traîne dans toutes les soirées « in » de Hollywood s’est en effet retrouvée sur le net en 2 temps, 3 mouvements de reins ! Alors qu’elle avait une relation avec le rappeur Ray-J, les tourtereaux ont décidé de filmer quelques moments intimes, voire plus encore… Mais au moment de la rupture, les images se sont retrouvées brusquement sur Internet et Kim Kardashian, qui n’était qu’un simple modele peu connue, s’est retrouvée propulsée au rang de « bimbo star »… Comme quoi, les sextapes ont aussi leurs avantages !

Mais on trouve aussi des stars masculines qui se font prendre sur la toile et c’est le cas du comédien star Colin Farrell, qui a vu réapparaître un beau jour les images de ses cascades avec son ex femme… Il faut avouer que le Flic de Miami avait oublié de ranger ses preuves…

La vengeance par sextape !

Si les vidéos cochonnes des stars diffusées sur Internet sont un très bon moyen de se faire des coups de pubs monstrueux, il y en a pour qui ce genre d’images est catastrophique ! Prenons l’exemple de la chanteuse Britney Spears qui a cru bon de se laisser filmer en s’amusant avec l’engin de son ex-petit ami Kevin Federline ! Seulement voilà, à la séparation des 2 célébrités, le chanteur a mis à disposition la vidéo sur le net et l’idole des jeunes filles a vu son image de mère fortement écornée… Un début de descente aux enfer qui continue encore aujourd’hui !

Britney Spears

Et que dire de la nageuse française Laure Manaudou ! La pauvre a subi la vengeance de son ex boy-friend Luca Marin, qui après avoir appris qu’elle avait retrouvé un nouveau petit ami, a diffusé sur le net une série de photos de la sportive nue dans des positions plutôt osées. Avec sa notoriété, son image en a pris un sérieux coup malgré les efforts de ses avocats pour stopper la diffusion de ces clichés embarrassants ! Le net est impitoyable et, la diffusion de ce genre de scoop est tellement rapide qu’il vaut mieux parfois ne pas prendre de photos du tout, on ne sait jamais sur qui on peut tomber !

Un business bien rodé !

Même si le net est un formidable moyen de diffusion gratuit et accessible à tous, il se cache malgré tout un véritable trafic autour de ces sextapes… En effet, ce qu’on trouve sur la toile est souvent de très mauvaise qualité visuelle, ou alors ce ne sont que des extraits et non les vidéos entières. Pour réussir à obtenir l’intégralité de ces images hot, des pirates fabriquent eux-mêmes leurs DVD qu’ils revendent ensuite par correspondance ou sous le manteau ! Une véritable économie parallèle qui profite à quelques petits malins qui font des sextapes et des photos de charmes des stars, un véritable travail qui se rémunère à prix d’or !

Des jaquettes DVD aussi belles que les vraies...

On trouve donc des sites qui répertorient toutes les vidéos chaudes de nos célébrités et c’est un véritable video-store à disposition, des ventes que personne ne contrôle et qui atteignent parfois des sommets… A sa sortie sur le net, la première vidéo de Paris Hilton ne montrait que quelques courts extraits, l’intégralité du film en DVD se monnayait lui près de 180 $, de quoi donner le tournis quand on voit le nombre de visionnages !

Ces DVD sont collector, gardez-les absolument !

Mais il y a des stars qui en profitent aussi ! Certaines vedettes comme Pamela Anderson se disent choquées que de telles images sur elles circulent, mais "par derrière", elles touchent un pourcentage des ventes des DVDs pirates ! Pour certains autres, la sextape est synonyme de gros coup de pub et certaines célébrités n’hésitent pas à fabriquer de fausses sextapes pour remonter leur côte dans les sondages ! C’est le cas d’Eva Longoria, sur qui une rumeur de cassette porno circulait il y a quelques semaines ! Le buzz fût à la hauteur de la charmante Desperate Housewife, c'est-à-dire atomique, tout le monde se battait pour voir les fameuses images de la petite latino nue… Mais déception, ce n’était en fait qu’une parodie où l’on voit la belle brune en train de se moquer de Paris Hilton !

Eva Longoria et sa fausse sextape

Bref, vous l’aurez compris, les sextapes sont de véritables pièges pour certaines stars et la poule aux oeufs d’or pour d’autres… Ce qui est certain, c’est que lorsqu’une vedette nous en montre un peu plus, c’est le carton assuré auprès des internautes, que ce soit en bien ou en mal, le coup de pub est bel est bien lancé et rien ne peux l’arrêter ! Paris Hilton reste quand même la reine du genre puisque en plus de créer le buzz, elle l’entretient avec plusieurs épisodes, on espère déjà un troisième opus de ses ébats amoureux… A quand les sextapes en plusieurs saisons comme « Friends » ?

Source : Webdetente

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